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Ascendance noble de Jeanne Ladiré



Rappel de la Stemma familiale :
Génération 1
1 - Erwan & Ludovic Gil
Génération 2
3 - Brigitte Micheline Assens
Génération 3
7 - Madeleine Yvonne Estelle Lucas
Génération 4
14 - Francis Pierre Marie Lucas
Génération 5
29 - Françoise Durand
Génération 6
58 - Marc Durand
Génération 7
116 - Marc Joseph Durand
Génération 8
232 - Jean Durand
Génération 9
464 - Jacques Durand
Génération 10
929 - Jeanne Ladiré

ABRAHAM - ANGOULVENT (d') - BEAUCORPS (de) - BEDÉE - BOIS (du) - CHASTEL (du) - CLOS (du) - COËTFAO (de) - DANJOU - FONTAINE (de la) - GOUYON de BEAUCORPS (de) - GOUYON - GOUYON de MATIGNON (de) - GUERMEUR (du) - GUERRANDE (de la) - KERGUEZAY (de) - KERIMEL (de) - LA CHOÜE - JAILLE (de la) - MARRE (de la) - LADIRE - LE GONIDEC - LISCOËT (du) - MADEUC - MAUNY - MOLIÈRE (de) - PARC (du) - PLOEUC (de) - QUÉBRIAC (de) - ROCHEFORT (de) - ROSTRENEN (de) - SAINT-MÉLOIR (de) - THIEUVILLE (de) - THOMAS - VAL (du) -



Cet armorial décline les blasons des familles rencontrées au cours des dix générations ascendantes de Jeanne Ladire.


MARRE (de la)

- de gueules à un croissant d’argent, accompagnés de 3 coquilles du même, devise: spes et fortitudo.
De La Marre, sieur de Kersaliou, paroisse de Plusquellec, sieur de Kéréault, paroisse de Plougastel-Daoulas, déboutée aux réformations, et appelée à l' arrière-ban de Cornouaille en 1694.

Bertrand de la Marre, de la paroisse de Plédéliac, témoin dans une donation de Geoffroy de Penthièvre à l'abbaye de Saint-Aubin des Bois en 1167.
Foulques de la Marre, croisé en 1248 (cabinet courtois ).
Guillaume de la Marre, tué à la bataille de Saint-Aubin du Cormier en 1448, marié à Jeanne Bertrand.
Un abbé de vierzon au diocèse de bourges en 1762, archidiacre de goëllo puis de Paris, mort en 1804 ( famille éteinte ). Le sieur de la Villemarqué fut débouté à l'intendance en 1710.

Montre de Saint-Brieuc de 1480 paroisse de Planguénoual canton de Pléneuf-Val André
- Jehan DE LA MARRE (30 livres de revenu)
- Pierre DE LA MARRE (120 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer

Nous avons trace de :
I - Jacques Augustin de la Marre Noble Homme, Sieur du Val, Conseiller du Roi et son procureur au siège royal de Hédé, avocat en la cour, venu de Bécherel où il remplissait l'office d'Alloué, Sénéchal de plusieurs juridictions, s'établit à Hédé en 1716 par son mariage avec Damoiselle Laurence HERVOCHES, née en 1684, fille de Maître Sébastien, Sieur du petit Bourg, et de Dlle Anne du Murier. Il remplit son office de 1718 jusqu'à sa mort faisant en 1721 fonction de Sénéchal attendu la vacance, 8 enfants nés de son mariage, élu député le 5 mars 1730 pour représenter les habitants aux Etats de Saint Brieuc, il mourut en 1736 et fut inhumé le 9 août, dans l'église Notre Dame de Hédé, en l'enfeu de la Ville-Allée en présence de tous les prêtres des environs.

IIa - Jean François Judith de la Marre, Maître procureur du roi, 3e fils de Maître Jacques Augustin, Sieur de la Ville-Allée et de Dlle Laurence Françoise HERVOCHES, né à Hédé en 1721, Avocat au Parlement licencié en droit civil et canonique, il acquit le 18 juin 1742 de Maître Jean Ollivier RUAULT de la Tribonière, cet office qu'avait déjà occupé précédemment son père, et quelques jours après le 6 mai 1742, fut élu par les bourgeois de Hédé député chargé de les représenter aux Etats de la Province qui allaient s' ouvrir le 19 août. Peu de temps après et malgré ces fonctions qu'il venait d'obtenir dans la magistrature, il entra dans les ordres et se fit prêtre. Diacre en 1746, curé de Saint Germain de Rennes en 1748, revint au pays où il prenait possession du bénéfice de Bazouges sous Hédé en février 1749, et qu'il occupa jusqu'à sa mort. Maire de la ville ( 15 mai 1759 ), le 22 août 1762, il est envoyé par la communauté de ville pour assister aux Etats de Rennes. Il meurt le 22 janvier 1777 "Echevin, ancien maire", il est enterré le 23 janvier dans le cimetière de Hédé par le recteur de Gévezé.

IIb - Sébastien Augustin de la Marre, Maître, Noble Monsieur, Sieur de la Ville-Allée, substitut du procureur général à Hédé. Né en 1729, 7ième enfant de Noble Homme Jacques Augustin, Sieur du Val, et frère cadet de Jean-François Judith, tous deux procureurs du roi, avocat au Parlement, Sénéchal de plusieurs juridictions. Conseiller du roi, son procureur au siège royal dès 1760. Nommé Maire en exercice de 1760 à 1768, élu le 29 septembre député aux Etats à Saint- Brieuc. Epousa Damoiselle Marie Toussaine SALMON - Echevin de la ville et communauté, il fut nommé lors de la réorganisation de celle-ci le 15 novembre 1781, capitaine de la Milice Bourgeoise et mourut l'année suivante..

BEDÉE

- d’argent à 3 rencontres de cerf de gueules.
Bédée vient du gaulois "bedo" (fosse) ou "betu" (bouleau) et du suffixe gaulois "iscum". Bezeg en breton.

MAISON DU ROI -- PENSIONS SUR LE TRESOR CARTON O / 1 / 668
- Joseph Pierre de Bedée. Baptisé le 19 octobre 1765 à Lamballe, diocèse de Saint Brieuc, fils de Louis Félix de Bedée, chef de nom et d’armes, et de Marie Gilette de Coëtlosquet. Pension accordée en considération des services de feu son grand-oncle Jean Gilles de Coëtlosquet, ancien évêque de Limoges, précepteur de Sa Majesté. - René Marie de Bedée. Baptisé le 21 avril 1768 à Maroué près Lamballe, diocèse de Saint Brieuc, fils de Louis Félix de Bedée, chef de nom et d'armes, et de Marie Gilette de Coëtlosquet. Pension accordée en considération des services de feu son grand-oncle Jean Gilles de Coëtlosquet, ancien évêque de Limoges, précepteur de Sa Majesté.

ÉLEVES DE LA MAISON ROYALE DE SAINT LOUIS A SAINT-CYR
- Françoise-Pétronille-Geneviève de Bedée-Boisbras, Aisne.
Sources :
Eric Lorent cahier généalogique costarmoricain n° 8.
Maurice de Boishamon, les Bédée et l’ascendance maternelle de Châteaubriand. Mr du Boishamon, propriétaire du château de Monchoix.
Grand Armorial de France de Jougla de Morenas notice 3835 (Bretagne)
Bibliothèque Nationale – pensions sur le Trésor carton 0 – 1 / 668.

La CHOÜE

- d'argent à 3 chouettes de sable, becquées et membrées de gueules posées 2 et 1.
Sieurs de la Ville-au-Provost, paroisse de Ploubalay - de la Mettrie, paroisse de Trégon, - de la Ferrière, paroisse de Médréac, - du Vaugaray, -de la Regoussière, - de la Villaufray, - de la Villedé et de la runais, paroisse de Créhen, - des Courtils, du Val, des Marais, - du Closneuf, - de l'Épine, paroisse de Blain. Ancienne extraction réforme de 1668, neuf générations, réforme et montres de 1448 à 1513, paroisse de Ploubalay, Trégon, Médréac et Créhen, évêché de Saint-Malo
Source :
Armorial de Pol POTIER de COURCY Tome I page 251
Ancienne famille qui figure aux réformations de la noblesse de bretagne de 1448 à 1513. Elle était représentée au 17 ème siècle par trois rameaux , celui de la mettrie, celui de crochais, et celui de brunays, qui furent maintenus dans leur noblesse en 1668 sur preuves remontées à Jean La Choüe, seigneur de la Ville-au-Provost , cité en 1444 et 1472, volontaire au combat de Saint-Cast en 1458.

Sources :
Grand Armorial de France de Jougla de Morenas notice n° 10244 page 447.
Nobiliaire et Armorial de Bretagne de Pol Potier de Courcy.

Montre de Saint-Brieuc de 1480
Paroisses :
Ploubalay canton de Ploubalay
- Brice LA CHOÜE de Ville-Provost (60 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une jusarme.
Trégon canton de Ploubalay
- Olivier LA CHOÜE de la Mettrie (80 livres de revenu) : comparaît revêtu d’une robe.
- Charles LA CHOÜE (10 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer.
Créhen canton de Plancoët.
- Guillaume LA CHOÜE (15 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer.
Languénan canton de Plancoët.
- Olivier LA CHOÜE (80 livres de revenu) : défaillant.

SAINT-MÉLOIR (de)

- de gueules à dix molettes d'or, 4, 3, 2 et 1 ; alias une croix engreslée,cantonnée de quatre hermines. (sceau de 1420, les émaux sont inconnus).
Saint-Méloir sieur du dit lieu paroisse de Saint-Méloir sous Bourseul, de Langourient de la Vieuville, de La Motte Verte et de la Ville Fréron, paroisse d'Erquy, du Bois, paroisse de Pléboulle , de la Coulombiere, de la Ville-Robert, paroisse de Pluduno, de Lantillac, de la Brousse.
Ancienne extraction , réformation de 1668, huit générations; réformations de 1426 et 1535 paroisse d' Erquy et Pléboulle évêché de Saint-Brieuc.

Montre de Saint-Brieuc de 1480
Erquy Canton de Pléneuf- Val André
Jacques DE SAINCT MELOIR (5 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une vouge.
Jehan DE SAINCT MELOIR (200 livres de revenu) : comparaît comme homme d'armes.

Montre de Saint-Brieuc de 1480
Paroisses :
Pléboulle Canton de Matignon
- Alain DE SAINCT MELOIR (20 livres de revenu).
Hénanbihen Canton de Matignon.
- Roland DE SAINCT MELOIR (1 livre de revenu).
Pléneuf Canton de Pléneuf- Val André.
- Guillaume DE SAINCT MELOIR : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge.
également :
- Louis de Sainct-Méloir, abbé de Saint Jacu en 1569.

Sources : Grand Armorial de France de Jougla de Morenas ; Eric Lorant, cahier généalogique costarmoricain n° 7 ; Maurice de Boishamon : Les Bedée et l’ascendance maternelle de Châteaubriand ; Jérôme Floury et Eric Lorant : Catalogue généalogique de la Noblesse bretonne d’après la réformation de la Noblesse 1668-1672 et les arrêts de l’Intendance, du Conseil d’État et de Parlement.

CLOS (du)

- de gueules, au pal losangé d'or et de sable, au léopard d'argent brochant le tout.

Montre de Saint-Brieuc de 1480
paroisse de St Pôtan Canton de Matignon
- Michel DU CLOS (7 livres de revenu)
- Pierre DU CLOS (3 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge.
- Raoult DU CLOS (10 livres de revenu) : porteur d’un paltoc et comparaît armé d’une pertuisane.
Pierre du Clos, référendaire à la chancellerie en 1718.






FONTAINE (de la)

- d'azur à la fasce nouée d'or, accompagnée de 3 coquilles d'argent, deux en chef et 1 en pointe.















GOUYON de BEAUCORPS

- d’or à 2 fasces nouées de gueules et 9 merlettes du même posées en orle sur l'or 4, 2, 3, à 1 bande d’azur posée sur le tout.
Gouyon : Seigneur de Beaucorps (en Saint-Cast), de Dieudy, de Vaumeloysel et de l'Isle-Aval (en Saint-Potan), du Vaurouault (en Pléhérel), de la Ravillays (en Ploubalay), de Bellestre, de Saint-Loyal, de la Ville-aux-Oiseaux (en Saint-Jouan-des-Guérets), de Miniac (en Miniac-Morvan), de Vaudurand, de la Raimbaudière (en Rougé), des Rochettes, de Launay-Comats (en Ploubalay), de la Coudrais, du Plessix, de la Palue, du Rocher, de Mauny, de Pontbrécel, de la Couldre, de la Villepierre (en Plémy), de la Motte-au-Loup, de la Villerogon (en Pléboulle), de la Demiville, de Kerambartz (en Landaul), de Kercadio (en Erdeven), de la Villegoures (en Erquy). Pol Potier de Courcy : Nobiliaire et armorial de Bretagne - t. I - p. 472.

Montre de Saint-Brieuc de 1480
paroisse de Pleboulle Canton de Matignon.
Bertrand GOUËON de Beaucorps (120 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer.
Réformation de Dol en 1513.
Paroisse de Pleugueneuc
Noble Gilles Gouyon, écuyer et époux de Dame Jeanne Bourdoin
Fief de la Villardaye.
Jeanne Gouyon leur fille Damoiselle du Vauduice.
Noble et puissant Guyon de Coëslogon époux de Dame Hélène Bonenfant.
Fief des Plessix et de la Bourbansaye.
Paroisse de Pleudihen
Jeanne Goyon, Damoiselle
Notons la présence à Fréhel du château du Vaurouault (1643), propriété de la famille des Goyon de Matignon. Ainsi que celui du Val (1571), édifié à Saint-Cast-le-Guildo par Amaury Gouyon (ou Goyon) et reconstruit en partie en 1780 par Pierre de Chateaubriand, oncle de l’écrivain.

GUERRANDE (de la)

- d’argent à l’aigle bicéphale de sable éployé armé, allumé et becqué de gueules tenant dans sa serre dextre un rameau d’olivier ou laurier de sinople devise Virtute fideque probata.

De la Guerrande, sieur du dit lieu, paroisse de Hénanbihen, sieur du clos, du Coixchemin, de la Gourdouère, de la Chesnaye, de la Vieuville, de la Villecoleu, de Corlorguen, de la Hazis, paroisse de Plurien, de Beauchesne, référence de 1668 , 8 générations, et maintenue à l' intendance en 1701 ; montres de 1441 à 1513 paroisses de Hénansal et Ruca, évêché de Saint-Brieuc.
Pierre vivant en 1441 épouse Marguerite Thomas; (voir filiation ci-dessous). Olivier, abbé de Saint-Aubin-des-Bois, mort en 1442, la branche ainée éteinte en 1500 et la seigneurie de Guerrande possédée ensuite par les familles Lescouët ; les Rogon et les Châteaubriand.
Sources :
Grand Armorial de France de Jougla de Morenas.

(Dossiers bleu 337- nouveau d’Hozier 168 – Armorial général de Bretagne tome 2 – La Messalière tome II).

Montre de Saint-Brieuc de 1480
Paroisse de Hénanbihen Canton de Matignon.
- Bertrand DE LA GUERRANDE de Guerrande (60 livres de revenu) : porteur d'une brigandine et comparaît armé d'une vouge. Un manoir de la Guerrande, datant du XVIème siècle fut construit à Henanbihen.
Egalement cités à la montre de St-Brieuc de 1480 :
Paroisses :
Ruca Canton de Matignon
Christophe DE LA GUERRANDE (60 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une jusarme.
St Denoual Canton de Matignon
Jehan DE LA GUERRANDE (25 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît armé d’une vouge.

LE GONIDEC

- Le Gouadec, d’argent à 3 bandes d’azur, Supports : deux lions, Devise " Fonds d’argent n’est pas sans traverses ", Cri " Youl doué, à la volonté de Dieu ".

de Kergarf, par. de Goudelin, - de Toulborzo et de Penanguer, par. de Plésidy, - de Kerhalic, par. de Carantec, - de Penlan, - du Roscoat, - de Linadec, - de Keramel  par. de Vieux-Bourg de Quintin, - du Rohou, - de Kerviziou, par. de Plouagat-Chatelaudren, -de Kerbizien, - de Kermabon, - de Kerloc'h, - de Kerdaniel -de la ville au Feuvre, - de la Belle Fontaine, - de Keryven, - du Mescouez, - de Keranroué, - de Coatantiec, - de Goazarglan, - de Lopuen, par. de Duauls, - de Pentreff, des Aulnais, parK de Saint Grégoire de Rennes, - de Traissan, au Maine, - de la Baratière, par. de N. D. de Vitré, - de Kermarquer et de la Roche-Jagu, par. de Ploëzal, - de Kerohant, par. de Garlan. Ancienne extraction chevalier réformation 1669, huit générations, réformations et montres de 1448 à 1543, paroisses de Goudelin, Plésidy et Plouagat-Chatelaudren, évêché de Tréguuier.
Blasonnement : D'argent à trois bandes d'azur, comme Folnays. Devise : Ioul Doué (la volonté de Dieu) et aussi : Fond d'argent n'est pas sans traverses.
Guillaume, écuyer dans une montre de du Guesclin en 1371
Geoffroy, épouse en 1403 Agaisse de Kerguézay
Rolland, épouse en 1450 Catherine Le Floc'h
Deux filles à Saint Cyr et plusieurs pages du Roi depuis 1699
deux gouverneurs de Tréguier, + 1708 et 1727
un brigadier de cavalerie, commandant à Brest, + 1767
trois conseillers au parlement depuis 1610
un célèbre philologue et lexicographe breton, + 1838
un procureur général à Rome en 1810 puis conseiller à la Cour de Cassation, + 1844
Source : Potier de Courcy, Armorial de Bretagne

Les premiers porteurs du nom, vers les XII ème et XIII ème siècles appartenaient au monde paysan. L’un d’entre eux s’est probablement improvisé soldat à l’occasion des conflits qui faisaient le quotidien de la Bretagne pendant la guerre de cent ans. Puis sa famille s’est fondue peu à peu au sein d’une noblesse fortement diminuée et en voix de renouvellement. Quelques décennies plus tard, les montres et les réformations du XV ème siècle mentionnent ainsi plusieurs Le Gonidec à Guingamp, Goudelin et Plouagat. Lors de la grande réformation de la noblesse de 1668-1671, trois maisons Le Gonidec ont été maintenues nobles en Bretagne : la branche de Kergarf, avec ses diverses ramifications, la branche de Kerbizien-Kerviziou, et celle des Aulnays. Dès cette époque, les archives n’ont pas permis de les relier entre elles et de trouver leur ancêtre commun. Mais comme elles portent toutes le même blason, il semble fort probable qu’elles soient issues d’une même souche originaire des environs de Guingamp. La scission a dû se produire à la fin du XIV ème siècle ou au début du XVème siècle. Guillaume Le Gonidec " écuyer dans une montre de Bertrand du Guesclin en 1371 " est le premier personnage de ce nom dont on trouve, en l’état actuel des recherches, une trace écrite. Viennent ensuite deux Le Gonidec présent à la " montre de la retenue de Jean Penhoët, amiral de Bretagne, du 27 juin 1420 " : Jehan, homme d’armes et Yvon, archer.
Source : Cahier généalogique costarmoricain n° 1 d’Eric Lorant.

Autre version :
Les Le Gonidec sont un ramage de la maison de Léon qui fournit des rois Bretons, des comtes de Léon sous Louis le Débonnaire en 818, et dont la descendance se fondit dans de Rohan. Le nom de Le Gonidec est un surnom signifiant "vainqueur" et qui a été donné par acclamation à l'auteur de la branche après une bataille. La branche part de Geoffroy Le Gonidec seigneur de Kergraf et de Kermabon, vivant en 1300 et époux de Yvonne de Ploesquellec, dont il eut Guillaume seigneur de Kergraf et Kermabon compagnon de Du Guesclin en 1371, marié à Isabeau de Rohan. De ce mariage est issu Yves Le Gonidec seigneur de Kergraf et de Kermabon, en 1403, qui épousa Egasse de Kerquesai de Kergomar dont il eut Roland Le Gonidec, seigneur de Kergraf de Kermabon, époux de Jeanne Le Long de Kernegrez. A partir de ce dernier les Le Gonidec se divisent en plusiseurs branches ayant possédé les seigneuries de Kergraf, Toulborzo, Penanguer, Kerhalie, Peulan, Roscoat, Linadec, Kezae, Le Rohon, Kerloc'h, Kerdaniel, La Ville au Feuvre, La Belle-Fontaine, Keryen, Le Mescouez, Keranroué Coatantrec, Coazarglan, Lopuen, Peutreff, les Aulnais, Traissan, La Baratière, Kermarquer, La Roche Jagu, Kerohant, comte de Tressan, comte de Peulan, etc... La branche des Aulnais s'est fondue dans les La Bourdonnaye-Blossac. Ils fournirent un grand nombre de personnages importants dans leur province, gouverneurs de Tréguier, pages du Roi, Un célèbre philosophe etc. Ils s'allièrent à toutes les anciennes maisons de Bretagne, dont Du Plessis d'Argentré, de Chavagnac, de Kernier, de Quélen, de Courson, du Ludre de Froslois. Ils ne sont plus représentés, certainement à la date du livre, que par les Le Gonidec de Tressan et ceux de Peulan ; Armoiries primitives qui sont celles de Léon : d'argent au lion rampant de sable, armé et lampassé de gueules. Armoiries adoptées depuis 1669 : d'argent à trois bandes d'azur avec la divise : tond d'argent n'est pas sans traverse, et "ioul Doué" la volonté de Dieu.
Source : Mémorial généalogique de la famille Régnault de Beaucaron tome II édité en 1925.

ANGOULVANT (d')

- de sinople à la fasce d' hermine, alias au franc quartier chargé de trois bandes.

Teneur des fiefs : Fremeur, la Guérinais.

Sources : Grand Armorial de Pol Potier de Courcy ; Jougla de Morenas Armoriaux généraux tome 1 Bretagne (JM906) ; Armorial Breton de L. Briant de Laubrière, publié en 1844, relevé des diverses réformations de la noblesse de cette province (la Bretagne) depuis 1400 jusqu'à 1668.

On cite :
Alain d’Angoulvent se croisa en 1248.
Hamon d’Angoulvent, dit ventre d'orge, et Thomasse sa mère font une donation à l' abbaye de la Vieuville en 1317.
Berthelot d’Angoulvent, ratifie le traité de Guerrande, en 1381.
Tristan d’Angoulvent vivant en 1479, aïeul de Gilles, marié à jeanne de la Haye.

Montre de Saint-Brieuc de 1480 :
Tristan d’Angoulvent, sieur de Fremeur vivant en 1479. Comparaît à la montre de Saint-Brieuc de 1480 comme homme d'armes, pour la paroisse d’Yvignac avec 60 livres de revenu. Partage noblement sa sœur Jeanne en 1465. Sa sœur épouse Gilles Le Voyer, seigneur de Trégomar. Tristan eut pour autre sœur Guyonne d’Angoulvent future épouse de Lancelot Gouyon de Beaucorps. Elle est décédée avant le 7 mars 1497.
Yvignac est semble-t-il une ancienne paroisse primitive gallo-romaine qui englobait jadis outre le territoire actuel d'Yvignac, ceux de Broons, Caulnes et Saint-Jouan-de-l'Isle. Y est situé le manoir de Coëtcouvran (XVI-XXème siècle), édifié par la famille d’Angoulvent, puis propriété successive, du XVIIème au XVIIIème siècle, des familles Margaro, Geslin, La Noüe et Launoy. Dans la liste des feudataires (teneurs de fief) des évêchés de Saint-Malo et Dol en 1480, on comptabilise la présence de 15 nobles de Yvignac dont Tristan D'ANGOULVENT de Fremeur (60 livres de revenu) : comparaît comme homme d'armes.

VAL (du)

- d’azur au cerf passant d’or.

Du Val du, sieur du petit Val, paroisse de Saint-Mathieu de Morlaix, de Ranlou, noblesse d’extraction, réformation de 1669, huit générations ; montre de 1481, paroisse de Saint-Mathieu de Morlaix, evêché. Jean vivant en 1481, père d’Alain, marié à Catherine Bertrand, la branche ainée fondue dans kerlanguen, puis Pinard et le Marant.

Montre de Saint-Brieuc de 1480
Paroisse de St Pôtan Canton de Matignon.
Guillaume DU VAL (200 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer.
Jehan DU VAL de le Val & Haubard (250 livres de revenu) : porteur d’une brigandine et comparaît en archer.

ABRAHAM

- d’argent à 3 jumelles de sable, accompagné de 10 étoiles de gueules, 4, 3, 2, 1, sceau de 1381.

Abraham, sieur de l'Hostellerie, paroisse de plouflagran, sieur de la Ville-Angevin, paroisse de Pordic, sieur de Bélestre , paroisse de Saint-Aalban, sieur de Clomenier, paroisse de Coëtmieux. Réformations et montres de 1423 à 1513, évêché de Saint-Brieuc Perrot, ratifie le traité de Guerrande en 1381. La branche de l' Hostellerie fut fondue en 1510 dans la famille Visdelou.
Ceci par le mariage de Jean de Visdelou, capitaine de Montcontour, qui épouse en 1513 Marguerite Abraham, Dame de l’Hostellerie.






MOLIÈRE (de)

- d’argent, à la croix pleine de sable.














BEAUCORPS (de)

- d’azur à 2 fasces d’or. Devise fiez- vous-y.

De Beaucorps, sieur du dit lieu, paroisse de Saint-Cast, sieur des Landes, paroisse de Bréhant, sieur de Moncontour. Réformation de 1513 paroisse de Bréhant, évéché de Saint-Brieuc. Geoffroy, écuyer au combat des trentes, en 1350. La branche ainée fondue en 1360 dans Gouyon, les sieurs de Guillonville et de la Bastière, de même nom et armes, ont été maintenus à l'intendance de la Rochelle, en 1669, sur preuves remontant à 1548.







GOUYON

Sceau d'Etienne III Goyon

- d’Argent au lion de gueules lampassé et couronné d’or. Devise Honneur à Goyon, liesse à Matignon.
de Gouyon,Gouéon, Goyon, sieur de Kerandré , Lesgoumel , Le Marcheix, Thomatz , La Villeaurieux.

Source : Armorial Breton de L. Briant de Laubrière, publié en 1844, relevé des diverses réformations de la noblesse de cette province de Bretagne, depuis 1400 jusqu'à 1668.

Branche aînée :
Teneur des fiefs :
- du Guildo, paroisse de Créhen, évêché de Saint-Malo, en qualité de seigneur.
- de Coësmes, paroisse de Coësmes, en qualité de seigneur, par mariage.

Branche cadette de La Moussaye :
Teneur des fiefs :
- de La Moussaye, paroisse de Plénée-Jugon, en qualité de marquis, en 1615.
- du Juch, paroisse de Ploaré, évêché de Cornouaille, en qualité de baron, en 1592.
- du Mur, paroisse de Saint-Evarzec, évêché de Cornouaille, en qualité de seigneur, par mariage, de Claude du Chastel et de Charles Gouyon.
- du Henvez, paroisse de Perguet, évêché de Cornouaille, en qualité de seigneur, par mariage, de Claude du Chastel et de Charles Gouyon.
- de Guériven, paroisse de Clohars-Fouesnant, évêché de Cornouaille, en qualité de seigneur, par mariage, de Claude du Chastel et de Charles Gouyon.
- de Pommerit, paroisse de Pommerit, évêché de Tréguier , en qualité de vicomte.
- de Tonquédec, paroisse de Tonquédec, en qualité de vicomte.
- de Quintin , paroisse de Quintin, évêché de Saint-Brieuc , en qualité de baron, par acquêt.

Branche cadette de Marcé :
Teneur des fiefs :
- de Marcé, hors Bretagne (Anjou), en qualité de seigneur puis de baron, par érection, en 1592, en faveur de Jacques Gouyon.
- de La Musse, paroisse de Ligné, évêché de Nantes, en qualité de seigneur








Précision sur le blason :
- D'argent au lion de gueules, couronné d'or, sur un sceau de 1219, tandis que Ruellend, son frère, porte fascé de 8 pièces et un lambel en chef sur un sceau de 1218, et qu'Alain Goyon, leur arrière petit neveu, scelle un acte de 1289 des armes de Matignon, savoir : d'or à 2 fasces nouées de gueules, accompagnées de 9 merlettes de même en orle. Le lion de Goyon ne reparaît plus qu'au XV° siècle, et encore est-il écartelé de Matignon, et le lion seul ne se retrouve pas avant 1486. écartelé de Gouyon et de Matignon (sceau 1448).
branches de Matignon, de Torigny et de Gacé : écartelé de Gouyon et d'Orléan-Langueville.
Source : POTIER de COURCY P., Nobiliaire et armorial de Bretagne, Mayenne, 2000, 8° éd., 2 vol.

LA "ROCHE GOYON" OU "FORT LA LATTE"
La Roche Goyon tire son nom d’une des plus anciennes familles bretonnes (appelée Gwion, Goion, Gouëon, Goyon et Gouyon). Une légende atteste qu’un premier château aurait été construit par un Goyon sous Alain Barbe-Torte en 937. Le château actuel, quant à lui, fut commencé avant l’apparition du canon en Bretagne (1364) puis poursuivi au gré de la bonne fortune des Goyon dans la deuxième moitié du XIVème siècle. Il existait en 1379 puisque Du Guesclin envoya un détachement à la Roche Goyon qui résista vaillamment. La forteresse fut confisquée au profit de Charles V, puis restituée à son propriétaire par le traité de Guérande (1381). Au cours du XVème siècle, l’ascension sociale des Goyon se poursuivit. Ils figurent aux États de Bretagne. Un Goyon, chambellan du duc de Bretagne, épousera l’héritière de la baronnie de Thorigni-sur-Vire. La famille Goyon quitte le berceau breton et passe à l’histoire de France. Le château reçoit alors un gouverneur qui loge dans un logis aménagé à cet effet. Lors de la réunion de la Bretagne à la France (réalisé lors du traité de 1532), il subit un nouveau siège (1490), anglais cette fois, sans succès pour les envahisseurs. Le coup de grâce lui fut porté par la Ligue. Jaques II Goyon, sire de Matignon, Maréchal de France, Gouverneur de Normandie et de Guyenne, avait pris le parti d’Henri IV. Par mesure de représailles, en 1597, un délégué du Duc de Mercoeur nommé Saint-Laurent, l’assiégea et l’assaillit. Le château déjà appelé à cette époque La Latte, fut démantelé, pillé, ravagé, incendié. Seul le donjon résista. C’est à un château en ruine que s’intéressa le sieur Garengeau chargé de fortifier la Côte pour la défense de Saint-Malo. Le château fut transformé en conséquence avec l’accord des Matignon entre 1690 et 1715. On lui doit en grande partie l’aspect que nous lui connaissons. En 1715, James III Stuart vint s'y réfugier et trouva le lieu sinistre... Il est vrai qu’il y échoua un vilain soir de novembre. La même année Louise-Hippolyte GrimaIdi (princesse de Monaco) épousait Jacques-François-Léonor Gouyon, sire de Matignon, devenu duc de Valentinois, à condition de prendre le nom et les armes des Grimaldi sans y joindre les siens. En 1793, on construisit le four à rougir les boulets et on emprisonna quelques suspects contre-révolutionnaires.
De jeunes MaIouins le prirent d’assaut, sans succès, lors des Cent-Jours (1815). Ce fut son dernier épisode guerrier.
Au cours du XIXème siècle, il fut peu à peu abandonné, il n’eut plus qu’un seul gardien. Déclassé par le ministère de la Guerre en 1890, il fut vendu par les Domaines en 1892. Il était en grande partie en ruines lorsqu'il fut classé Monument Historique en 1925. Cette famille est connue depuis "GOYON", premier banneret de Bretagne, vivant au 10ème siècle, compagnon d'Alain "Barbetorte.
Ecrit indifféremment Goüyon, Gouyon, Goüeon ou Goyon.

GOUYON de MATIGNON

- Écartelé aux 1 et 4, d’argent au lion de gueules, armé et lampassé d’or ; aux 2 et 3, d’or à 2 fasces nouées de gueules, et 9 merlettes du même posées en orle sur l’or : 4, 2, 3.

Sources citées par Jougla de Morenas dans Grand Armorial de France :
Pièces originales 1365-1382-1384-1390 ; Dosiers Bleus 323-327-434 ; Carrés d’Hozier 306-307 ; Cabinet d’Hozier 170 ; Nouveau d’Hozier 170 ; Chérin 96 ; Armorial Général – Bretagne ; Anselme ; de la Messelière ; Archives particulières.

Autres Sources : Dictionnaire de la noblesse de François Aubert de La Chesnaye-Desbois ; Nobiliaire universel de France de Nicolas de Saint-Allais.





ROSTRENEN (de)

- D’hermines à trois fasces de gueules (qui est Rostrenen) à un lambel d'azur.
Les Rostrenen sont issus des vicomtes de Poher *.
Teneur des fiefs :
- de Rostrenen, paroisse de Rostrenen, évêché de Cornouaille, baillie de Cornouaille, en qualité de baron (pour lequel il doit 2 chevaliers en 1294).
- de Trégalet, paroisse de Plonéour, en qualité de seigneur.
- de Brélidy, paroisse de Brélidy, en qualité de seigneur.
- de La Roche-Helgomarc'h, paroisse de Saint-Thois, évêché de Cornouaille, en qualité de seigneur, par mariage.
- de Brunault, paroisse de Trébrivan, évêché de Cornouaille, en qualité de seigneur.
- de Tréfaven, paroisse de Ploemeur, en qualité de seigneur.
- de La Motte-au-Vicomte, paroisse du Rheu, évêché de Rennes, en qualité de seigneur.
- de Crenolle, paroisse de Plessala, évêché de Saint-Brieuc, en qualité de seigneur.
- de Coëtfao, paroisse de Pluguffan, évêché de Cornouaille, en qualité de seigneur, par mariage, Jeanne du Guermeur et de Pierre VIII de Rostrenen.
- du Ponthou, paroisse du Ponthou, évêché de Tréguier, baillie de Tréguier, en qualité de seigneur, par mariage, Jeanne du Guermeur et de Pierre VIII de Rostrenen.
- de Viliac, peut-être paroisse de Carnoët, baillie de Cornouaille, en qualité de seigneur.
- de Glomel, paroisse de Glomel, en qualité de seigneur.
Réformations de 1426 à 1448, paroisse de Saint-Thois, Plonéour, Pluguffan, Ploemeur et Le Rheu, évêché de Cornouaille, Vannes, Rennes et Saint-Brieuc.
Rivallon, sénéchal de Bretagne en 1068 ; Geoffroi, croisé en 1270 ; En 1294, dans le livre des Ostz, le seigneur de Rostrenen est Pierre V, fils de Pierre IV, qui se révolte en 1235 contre le duc, et de Jeanne de Parthenay. Il est attesté en 1279 et meurt en 1307. Il épouse Nicole, fille d'André III de Vitré ; Pierre V, tué à la bataille de La Roche-Derrien en 1347 ; autre Pierre, chambellan du roi Charles VII, +1440.

Le fief de Rostrenen, paroisse de Rostrenen, évêché de Cornouaille, baillie de Cornouaill, en qualité de baron, fut tenu chronologiquement par les :
- Rostrenen.
- Pont-L'Abbé, par mariage, en 1440, de Marguerite de Rostrenen et de Jean II du Pont.
- Quélennec, par succession, en 1526, de Louise du Pont à Gillet du Chastel, mariée depuis le 07/02/1517 avec Charles de Quélennec.
- Beaumanoir, par mariage.
- Guémadeuc.
- Richelieu.
- Lantivy, de la branche cadette de Coscro.
- Rougé, par mariage.
- Lorraine-Elbeuf, par mariage.

Le teneur du fief de Rostrenen, évêché de Cornouaille, baillie de Cornouaille, en qualité de seigneur eut comme suzerain le teneur du fief de :
- Poher, en qualité de vicomte.
- Bretagne, en qualité de duc (à qui il doit 2 chevaliers en 1294).
La baronnie de Pestivien, paroisse de Pestivien, fut annexée, vers le XV°, pour un temps assez court à Rostrenen.
En 1294, dans le livre des Ostz, "Le seigneur de Rostrenein, II chevaliers du fief de Rostrenein. Et dit se il tenait la terre de Viliac (identifié par Le Baud à " Veliaco ". Cette terre de Viliac pourrait se trouver en Carnoët où le duc avait des biens.), il du un chevalier, mais le comte la tient par quoi il n'y est pas tenu, ce dit-il, jusqu'à ce qu'il la tienne." Les Trébrivan et les Vieux-Chatel, de la branche cadette de Brunault sont des juveigneurs de Rostrenen.

GUERMEUR (du)

- Fascé d'or et de gueules, qui est du Chastel, la première fasce de gueules, chargée d'une molette d'or. (De la Grandville ; Armorial de Bretagne, manuscrit de 1650 à la Bibliothèque de l'Arsenal).
Branche aînée :
Teneur des fiefs :
- du Ponthou, paroisse du Ponthou, évêché de Tréguier , baillie de Tréguier, en qualité de seigneur, par mariage.

Branche cadette du Ponthou :
Teneur des fiefs :
- du Ponthou, paroisse du Ponthou, évêché de Tréguier , baillie de Tréguier, en qualité de seigneur.
- de Coëtfao, paroisse de Pluguffan, évêché de Cornouaille, en qualité de seigneur.
Teneur des fiefs :
- du Guermeur, paroisse de Plourin, évêché de Léon, en qualité de seigneur.
- de Penancleuz, paroisse de Lambézellec, évêché de Léon, en qualité de seigneur.
Réformation et montres de 1426 à 1534, paroisses de Plourin et de Lambezellec, évêché de Léon.

CHASTEL (du)

- de gueules au château d'or, sommé de trois tours du même ; devises : Da vad é tenu (tu viendra à bien) Vaillance du Chastel ; Mar car Doué (s'il plaît à Dieu)
POTIER de COURCY P., Nobiliaire et armorial de Bretagne, Mayenne, 2000, 8° éd., 2 vol..

Selon des aveux tardifs du XVII siècle, la seigneurie du Chastel se composait de 2 parties :
- 4 paroisses, avec pour centre le château de Trémazan en Kersaint, sans doute construit au début du XIV siècle, relevant du vicomte de Léon, de la branche cadette - les 9/10° de la seigneurie, avec pour centre la Tour Tanguy, ou motte Tanguy, en Saint-Pierre-Quilbignon, en face du château ducal de Brest, relevant du duc de Bretagne Les du Chastel tirent, semble-t’il, leur nom de la seigneurie du Chastel, en Plouarzel, qui contenait le château de Pont-ar-C'hastel, relevant du duc depuis 1274*.

Branche aînée :
Teneur des fiefs :
- du Chastel, paroisse de Plouarzel, évêché de Léon, en qualité de baron.
- de Lezirivy, paroisse de Plouarzel, évêché de Léon, en qualité de seigneur, par mariage d'Alix de Lezirivy et de Guillaume Ier du Chastel.
- de La Motte-Tanguy, paroisse de Quilbignon, en qualité de seigneur.
- de Trémazan, paroisse de Landunez, évêché de Léon, en qualité de baron.
- de Kerlec'h, paroisse de Ploudalmézeau, évêché de Léon, en qualité de seigneur, par mariage, vers 1270, de Sybille de Coëtivy et de Bernard du Chastel.
- de Combourg, paroisse de Combourg, en qualité de comte, par mariage, en 1462, de Jeanne Raguénel et de Tanguy IV du Chastel.
- du Juch, paroisse de Ploaré, en qualité de baron, évêché de Cornouaille, par mariage, le 23/06/1501, de Marie Ière du Juch et de Tanneguy III du Chastel.
- du Mur, paroisse de Saint-Evarzec, évêché de Cornouaille, en qualité de seigneur, par mariage, le 23/06/1501, de Marie Ière du Juch et de Tanneguy III du Chastel.
- du Henvez, paroisse de Perguet, évêché de Cornouaille, en qualité de seigneur, par mariage, le 23/06/1501, de Marie Ière du Juch et de Tanneguy III du Chastel.
- de Guériven, paroisse de Clohars-Fouesnant, évêché de Cornouaille, en qualité de seigneur, par mariage, le 23/06/1501, de Marie Ière du Juch et de Tanneguy III du Chastel.
- de La Roche-Dorniou, paroisse de Calanhel, en qualité de seigneur, par mariage, de Tanguy II du Chastel et de Tiphaine de Plusquellec.
- de Kersimon, paroisse de Plouguin, évêché de Léon, en qualité de seigneur, par mariage, le 23/06/1501, de Marie Ière du Juch et de Tanneguy III du Chastel.br> - de Coëtivy, paroisse de Plouvien, en qualité de seigneur, par mariage, le 23/06/1501, de Marie Ière du Juch et de Tanneguy III du Chastel.
- du Leslem, paroisse de Plounéventer, évêché de Léon, en qualité de seigneur, par mariage, le 23/06/1501, de Marie Ière du Juch et de Tanneguy III du Chastel.
- de La Bellière, paroisse de Pleudihen, évêché de Dol, en qualité de vicomte, par mariage, de Claude d'Acigné et de Claude du Chastel.
- de Tonquédec, paroisse de Tonquédec, en qualité de vicomte, par mariage, de Claude d'Acigné et de Claude du Chastel.
- de Keraldanet, paroisse de Lannilis, en qualité de seigneur, par mariage, de Claude d'Acigné et de Claude du Chastel.
- du Bois-Raoul, paroisse de Renac, en qualité de seigneur.
- de Pommerit, paroisse de Pommerit, évêché de Tréguier, en qualité de vicomte, par mariage, en 1522, de Claude du Chastellier et de François du Chastel.
- de Kersaliou, paroisse de Pommerit-Jaudy, en qualité de seigneur, par mariage.
- de Marcé, hors Bretagne (Anjou), en qualité de seigneur, par mariage, en 1522, de Claude du Chastellier et de François du Chastel.
- de Lesnen, paroisse de Saint-Tual, évêché de Dol, en qualité de seigneur, par mariage, en 1522, de Claude du Chastellier et de François du Chastel - de Gournois, paroisse de Guiscriff, évêché de Cornouaille, en qualité de seigneur, par mariage, en 1522, de Claude du Chastellier et de François du Chastel.
- de Kerbasquiou, paroisse de Plouëzal, en qualité de seigneur.
- de Keranroux, paroisse de Plufur, évêché de Tréguier, en qualité de seigneur, par mariage, en 1625.
- de Keryvot, paroisse de Milizac, en qualité de seigneur.
- de Kermorin, paroisse de Saint-Thégonnec, en qualité de seigneur.
- de Coëtlez, en qualité de seigneur.
- de Pratcaric, paroisse de Plounévez-Moëdec, en qualité de seigneur, par mariage, en 1659.
- de La Roche-Helgomarc'h, paroisse de Saint-Thois, évêché de Cornouaille, en qualité de marquis.

Ancienne extraction, chevalier, réformation de 1671, 14 génération ; réformation et montres de 1427 à 1534, paroisse de Plouarzel, Landunvez et Plourin, évêché de Léon, Landelau, Guiscriff et Calanhel, évêché de Cornouaille. Bernard Ier, fils de Tanguy, se croisa en 1248 (cabinet Courtois), et épousa Constance ** (Anne ou Constance *) de Léon, dont : 1° Hervé Ier, qui continua la filiation ; 2° Bernard, dont les descendants prirent le nom de Kerlec'h ; Hervé Ier ne doit rien au duc, en 1294, peut-être car son château de Trémazan n'est pas encore construit ; Tanguy, capitaine de Brest, +1352 ; autre Tanguy, grand maître de la maison du Rois, +1446, commandait en Italie les Bretons à la solde de Louis, roi de Sicile, et prit Rome de vive force en 1410 ; Guillaume, panetier du Roi, tué au siège de Pontoise en 1441 ; Tanguy, grand maître de l'écurie du Roi, + au siège de Bouchain, en 1477 ; Guillaume, seigneur de Kersimon, capitaine de Brest, battit 10000 Anglais au Conquet en 1558 ; Gabriel, évêque d'Uzès, + à Rome en 1463 ; Jean, évêque de Carcassonne, + à Rome en 1472 et enterré à Sainte-Praxède ; Christophe, évêque de Tréguier, +1476 ; Olivier, évêque de Saint-Brieuc, +1525 ; Olivier, abbé de Daoulas, +1550 ; Tanguy, seigneur de Châteaugal, tué au siège d'Ostende en 1602. Le fief du Chastel(-Trémazan), en qualité de baronnie, fut tenu chronologiquement par les :
- du Chastel.
- Rieux, par mariage, en 1575, de Anne du Chastel et de Guy de Rieux.
- Scépeaux.
- Gondy.
- Cossé-Brissac.
- Penancoët, de la branche cadette de Kerouazle.
- Crozat.
- Gontaut-Biron, par alliance.
- Gontaut-Lauzun.
- Rohan-Guéméné, par acquêt, en 1778.
Le teneur du fief du Chastel eut chronologiquement comme suzerains le :
- teneur du Léon, en qualité de vicomte.
- teneur du Léon, en qualité de comte .
Le teneur du fief du Chastel eut comme vassal le teneur du fief de :
- Keranflec'h, paroisse de Milizac, évêché de Léon.
Les Kerlec'h sont un ramage du Chastel.

Branche cadette de Mezle :
Teneur des fief de :
- La Roche-Doriou, paroisse de Calanhel, évêché de Cornouaille, en qualité de seigneur.
- Mezle, paroisse de Plounévez-du-Faou, évêché de Cornouaille, en qualité de seigneur, par mariage, au XIV° siècle, de Gabrielle de Mezle et de Tanneguy du Chastel - Châteaugal, paroisse de Landeleau, évêché de Cornouaille, en qualité de seigneur, par mariage, en 1433, de Isabeau de Kermellec et de Henry du Chastel .

Branche cadette de Coëtangarz :
Teneur des fief de :
- de Coëtangarz, paroisse de Plouzévédé, en qualité de seigneur.

Branche cadette de Bruillac :
Teneur des fief de :
- Bruillac, paroisse de Plounérin, évêché de Tréguier, en qualité de seigneur.br> Cette branche, seul existante, issue de la branche cadette de Coëtangarz, a fait enregistrer ses titres au conseil souverain de la Martinique en 1732 et a produit un aumônier du Roi en 1746, abbé de Samer-au-Bois, au diocèses de Boulogne et de Belval, au diocèse de Reims, +1778. Un de ses membres a été admis aux honneurs de la Cour en 1786.

DANJOU ou ANJOU (d')

- Parti au 1 d'azur, à 2 lions affrontés d'or, au 2 d'argent, semé d'hermines de sable, à la fasce d'azur.













COËTFAO ou COËTANFAO (de)

- D'azur à 1 fleur dee lys d'or, accompagnée en pointe de 2 mâcles de même, alias d'argent au 3 croissants de gueules.
Coëtfao en Pluguffan, du Ponthou, de Keroberan en Tréméoc et autres terres.
Le fief de Coëtfao, paroisse de Pluguffan, évêché de Cornouaille , en qualité de seigneur, fut tenu chronologiquement par les :
- Guermeur.
- Rostrenen, par mariage, Jeanne du Guermeur et de Pierre VIII de Rostrenen.
- Pont-L'Abbé, par mariage, en 1440, de Marguerite de Rostrenen et de Jean II du Pont.
- Lézongar, de la branche cadette du Hilguy.
- Quélennec, par mariage, en 1512, de Jeanne de Lézongar et de Jean de Quélennec.
- Visdelou, par mariage, de Françoise de Quélennec et de gilles de Visdelou.





KERGUEZAY (de)

- D'hermines à une fasce de gueules chargée de 3 molettes d'or.














LA JAILLE (de)

- D'or, à la bande de 5 fusées de gueules à la bordure de sable, chargée de 8 besants d'or.












LISCOËT (de)

- D'argent au chef de gueules chargé de 7 billettes d'argent.















MADEUC - GUÉMADEUC (de)

- De sable au léopard d'argent accompagné de 6 coquilles de même, 3 en chef et 3 en pointe.














MAUNY (de)

- D'argent au croissant de gueules.














PLOEUC (de)

- Chevroné d'hermines et de gueules.














QUÉBRIAC (de)

- D'azur à 3 fleurs de lys d'argent.














ROCHEFORT (de)

- Vairé d'or et d'azur.














THIEUVILLE (de)

- D'argent à 2 bandes de gueules, accompagnées de 7 coquilles de mêmes, 2, 3, 2.


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